CÔTÉ LOISIRS

Stéphane Bern prête sa notoriété pour un appel aux dons en faveur du Palais Garnier

_DSC0945.jpgAccueillant 650 000 visiteurs par an, l’Opéra qui trône en haut de l’avenue du même nom, attire non seulement les passionnés de danse et d’art lyrique mais aussi nombre de touristes français et étrangers.

 

« C’est un lieu fantasmatique, qui fascine. Songez au Fantôme de l’Opéra, le roman de Gaston Leroux, et plus encore à la comédie musicale qui en a été tirée ! Au cinéma, c’est La Grande Vadrouille de Gérard Oury qui a familiarisé les Français avec le Palais Garnier », relève Christophe Tardieu.

 

 

 

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Justifiant ainsi cet appel à la bonne volonté des citoyens comme « une manière de proposer au public de matérialiser son rêve. » On imagine mal, en effet, semblable attachement du public au froid et plutôt impersonnel Opéra Bastille… « Attention, nous ne savons pas si, dans 150 ans, un appel du même type pour restaurer Bastille ne rencontrerait pas l’adhésion », précise Christophe Tardieu.

 

 

 

Si un riche particulier ou une entreprise choisit de débourser 15 000 €, 50 000 € ou 150 000 € en faveur de la ceinture de lumière, il ou elle pourra prétendre apposer son mécénat à la restauration complète d’un de ses éléments. Mais, pour les bourses ordinaires, la contribution peut être beaucoup plus modeste.

 

« À partir d’une somme de 50 €, le donateur sera cité sur notre site Internet et convié à l’inauguration, une fois les travaux achevés », précise encore le directeur-adjoint de l’ONP. Les donateurs potentiels ont désormais quatre mois pour se manifester s’ils souhaitent contribuer à la splendeur retrouvée de la ceinture de lumière…  

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